Elles traitent d’époques différentes, de techniques différentes, dans des proportions et des scénographies différentes.
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Elles traitent d’époques différentes, de techniques différentes, dans des proportions et des scénographies différentes.
Au premier étage de l’institution marseillaise, s’opposent deux expositions. L’une est consacrée au photographe Raymond Depardon ; l’autre, s’intitule Food. De quoi se régaler.
Honorée d’un Sony World Photography Award cette année, la photographe américaine Mary Ellen Mark s’est écartée un instant des projecteurs pour répondre à l’une de nos questions.
MEs MOts d’expos : Vous revendiquez la récurrence de certains motifs dans votre travail, sa circularité. Si vous deviez retourner à un endroit tout de suite, quel serait-il et pourquoi ?
Mary Ellen Mark : J’adore l’Inde et le Mexique. Je trouve que les deux pays se ressemblent par leur aspect tant surréel, vivant, que déjanté.
MME : Qu’y photographierez-vous ?
MEM : Je referais bien une nouvelle série sur le cirque (en 1989 et 1990, la caméra de Mary Ellen a immortalisé dix-huit cirques indiens, NDLR).
National Circus of Vietnam, Lenin Park, Hanoi, North Vietnam, 1994
VOIR AUSSI : la vidéo liée à cette interview.
Récompensée pour son œuvre par les Sony World Photography Awards 2014, la photographe américaine Mary Ellen Mark, explique dans cet extrait son intérêt pour le photoreportage et l’aspect itératif de son travail.