C’est la première rétrospective française consacrée à l’artiste allemand depuis 1969. « Année érotique ». Comme certains de ses dessins. Pourtant, son œuvre est tellement prolifique qu’il nous aura fallu trouver une autre porte d’entrée.
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C’est la première rétrospective française consacrée à l’artiste allemand depuis 1969. « Année érotique ». Comme certains de ses dessins. Pourtant, son œuvre est tellement prolifique qu’il nous aura fallu trouver une autre porte d’entrée.
Dans cet extrait, la commissaire Angela Lampe justifie l’angle de son projet de rétrospective, la première depuis 1969. Si ce n’est pas ironique (pun intended).
paru dans L’Éventail en avril 2016.
Parce qu’il est, à Jacquemart-André, question d’impressionnisme, je procéderai, d’entrée de jeu, par petites touches. Ou, point par point, pour mimer les pointillistes.
L’exposition qui ouvrait avant-hier ses portes au musée du Luxembourg comporte des chefs-d’œuvre dont la beauté seule ne pouvait a priori servir de fil conducteur. Et pourtant…