La rentrée artistique est marquée par une majorité d’expositions monographiques. Par manque de temps, nous ne pourrons en commenter plus que deux, pour le moment, malheureusement. Ce n’est pas faute d’avoir essayé, pourtant.

La rentrée artistique est marquée par une majorité d’expositions monographiques. Par manque de temps, nous ne pourrons en commenter plus que deux, pour le moment, malheureusement. Ce n’est pas faute d’avoir essayé, pourtant.
L’exposition qui ouvrait avant-hier ses portes au musée du Luxembourg comporte des chefs-d’œuvre dont la beauté seule ne pouvait a priori servir de fil conducteur. Et pourtant…
Après le Louvre (2003), le musée Jacquemart-André (2007 et 2014), Besançon (2007), et Caen (2010), le musée du Luxembourg rend hommage à l’un des plus grands peintres français du XIXe siècle.
Dans cet extrait, le commissaire Guillaume Faroult revient sur le propos de l’exposition “Fragonard amoureux. Galant et libertin”, qui se tient actuellement au Musée du Luxembourg.
LIRE AUSSI : l’article lié à cette vidéo.
Pour historiens et zappeurs, cette exposition est cousue de fil blanc. Pour les béotiens de notre espèce, elle suit un fil rouge d’une richesse telle qu’il en devient or. Un trésor de clarté et de beauté.