C’est la première rétrospective française consacrée à l’artiste allemand depuis 1969. « Année érotique ». Comme certains de ses dessins. Pourtant, son œuvre est tellement prolifique qu’il nous aura fallu trouver une autre porte d’entrée.
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C’est la première rétrospective française consacrée à l’artiste allemand depuis 1969. « Année érotique ». Comme certains de ses dessins. Pourtant, son œuvre est tellement prolifique qu’il nous aura fallu trouver une autre porte d’entrée.
paru dans L’Éventail en avril 2016.
Parce qu’il est, à Jacquemart-André, question d’impressionnisme, je procéderai, d’entrée de jeu, par petites touches. Ou, point par point, pour mimer les pointillistes.
Un mois que je couve cet article ! L’actualité artistique battant son plein d’œuvres, et non d’œufs, je le ponds seulement maintenant, alors que l’exposition du Musée d’art Moderne s’avère l’une des plus savoureuses de la rentrée.
Dans cet extrait, Joseph Baillio, historien de l’art et spécialiste incontesté de l’œuvre d’Elisabeth Vigée-Lebrun, ainsi que Xavier Salmon, le directeur du Département des Arts Graphiques du Musée du Louvre, s’accordent à présenter LA portraitiste, aussi belle que douée, qui a su remporter, en son temps, les faveurs de la reine Marie-Antoinette, entre autres. Une première rétrospective signée Le Grand Palais.