En cet automne pluvieux, trois expositions parisiennes gravitent autour du rêve, ce phénomène dont la complexité peut nous rendre chèvres ; et dont l’inconsistance nous oblige parfois à compter les moutons.
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En cet automne pluvieux, trois expositions parisiennes gravitent autour du rêve, ce phénomène dont la complexité peut nous rendre chèvres ; et dont l’inconsistance nous oblige parfois à compter les moutons.
Qu’il s’agisse d’amitié, d’amour ou de complicité intellectuelle, le processus artistique se nourrit du lien à l’autre. La preuve en trois expositions.
Les Macchiaioli sont-ils les précurseurs de l’impressionnisme ? Le musée de l’Orangerie consacre jusqu’au 22 juillet 2013 une grande exposition au mouvement italien.
Dans le cadre de la Nuit des musées 2013, l’Orangerie et Orsay invitent la troupe de Myriam Gourfink à danser au milieu de leurs collections. Poétique.