Six ans après leur acquisition, les couvertures conçues par le peintre pour la revue d’André Breton font l’objet d’une exposition dans la Galerie 4 du Centre Georges Pompidou.
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Six ans après leur acquisition, les couvertures conçues par le peintre pour la revue d’André Breton font l’objet d’une exposition dans la Galerie 4 du Centre Georges Pompidou.
À l’occasion de son exposition estivale consacrée à Jean-Baptiste Carpeaux (1827-1875), le musée d’Orsay tapisse le fond de sa nef d’une moquette grise. Assortie aux sculptures dévoilées.
Son mythe traverse les âges. Comment ? Pourquoi ? C’est la question qui résonne aujourd’hui entre les murs Pinacothèque de Paris.
Installé sur le parvis de l’Institut du Monde Arabe, le train-pont entre l’Ouest et l’Est fait aujourd’hui l’objet d’une exposition riche et hors du commun.
Suicidaires, ils l’étaient, de même que tous les visiteurs qui aujourd’hui s’aventurent à Orsay sans avoir réservé leurs billets.