The Museum of Neon Art
Soit MONA, de son acronyme, pour les intimes.
Rien à voir avec la Joconde de Vinci, étape de vingt-six secondes au Louvre.
Né en 1981, ce temple du néon, ouvre Downtown LA, pour déménager hors du centre à l’âge de trente et quelques années.
Anitta & J Balvin, Downtown, ft. Lele Pons y Juanpa Zurita
Pourquoi y aller ?
- Pour son emplacement de rêve, à la frontière de L. A.
À Glendale ou « Glande Island » – le surnom est laid, certes -, ville non déserte qui invite à l’oisiveté.
Juste à côté, The Americana at Brand, s’apparente à un mall amélioré en plein air, où cohabitent restaurants / tavernes, et boutiques.
Défi loufoque : à deux blocs, le Musée des selfies, explore, sans provoc, sans équivoque, un tic des temps modernes.
- Le billet coûte 10 dollars (8,12 €). Yeah!
L’entrée est même gratuite pour qui achète un livre du même prix à la foire organisée une fois par mois en face du musée.
- Parcours réduit (une large salle qu’introduit un court corridor), coloré, lumineux et non ruineux.
- Lieu unique : seul musée dédié à un support artistique électrique.
Bastion d’une fine équipe de restaurateurs.
A l’origine du Neon Cruise, chouette tour en bus destiné aux piétons qui « losent » à force d’user leurs baskets et souhaitent en savoir plus sur le néon et le musée.