« Heureux qui, comme Ulysse, a fait un bon voyage ». Ainsi, l’égérie de Johannes Vermeer s’en retourne à La Haye, après deux ans d’exil. Juste à temps pour voir le Mauritshuis rouvrir ses portes.
« Heureux qui, comme Ulysse, a fait un bon voyage ». Ainsi, l’égérie de Johannes Vermeer s’en retourne à La Haye, après deux ans d’exil. Juste à temps pour voir le Mauritshuis rouvrir ses portes.