Du sport sur la Côte j’ai pratiqué,
Du Carré d’or au plus sophistiqué
Des monuments, de l’écume au bitume ;
Davantage, en tout cas, que de coutume.
Quel sport ! Quel effort, d’abord, que dans l’eau
De plonger le pied qui, sous le pas, dort
Dans l’espoir que sa plante sans cors dore
Sous les rais d’un soleil encore éclos.
Sport de glisse sur l’ex-Riviera :
Les roues prennent réflexes et contrôle
Et, au vu de cette inversion des rôles,
Les yeux s’aveuglent : « qui vivra verra » !
« Exit le sport ! », beugle-t-on, le museau
Au soleil exposé. A vol d’oiseau
L’on passe pourtant du roller au patin,
Sur la Grand Place glacée de pantins.
Un sport en soi s’avère l’ascension
Des marches de la Villa Masséna,
Un coup des plus fatals qu’assène-là
A moindre coût du site la scansion.
Du sport il existe un nouveau musée
« National » et excentré, qui plus est.
J’y ai relevé au moins deux défis,
À vélo, en F1… Merci la Wii !
Enfin, le sport a inspiré de Stael
(De Stal ? De Stel ? Quel crime pour la rime ?)
Quelques footballeurs et le Parc des Princes,
C’est l’oeil de Nicolas, là, qui se rince.
Du sport de l’art, de l’art du sport on court
Jusqu’au Spar, promesse de réconfort.
Après les remparts d’Antibes, retour
Au port, auprès d’un chat qui ronfle fort.
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